Plaisir Garanti Sans Risque De Douleurs Au Dos !
C’est pire au début de la saison. L’hiver a été sédentaire. La chaleur du soleil et les premières journées chaudes viennent chatouiller l’impulsion du golfeur. Il se retient encore pour ne pas s’élancer avec vigueur et désir de performance sur la petite balle blanche qui dort au fond de son sac de golf.
Ce matin est le grand jour! Les copains sont joyeux. L’ambiance est à la fête. Comme des chevaux fougueux sur la ligne de départ, notre sédentaire sportif se prépare à frapper de son bâton de golf, cette mignonne balle qui semble suspendue à quelques centimètres du sol.
C’est le swing!
Il y met tout son cœur, toute sa fraîcheur, toute son élégance, toute son ardeur, toute sa précision et enfin toute sa puissance.
Le bâton s’élève pour repartir dans l’autre direction. En passant il frappe la balle.
Le corps du sédentaire sportif se retrouve dans un mouvement de torsion que le tronc de son corps, constitué par ses basses dorsales, sa région lombaire et celle de son bassin, supporté par ses genoux encore imprégnés de centaines heures de télévision que l’hiver propose comme loisirs …
Et c’est le « Aoow »!
Violente douleur du bas du dos. Les vertèbres envoient le signal d’alarme et crient : nous ne sommes pas prêtes à jouer si fort! Les muscles sont douloureux.
Le lendemain et les jours qui suivent retrouvent notre sportif dans un état lamentable. Sa saison de golf est compromise. Sa vie n’a plus aucun sens. S’il ne peut plus jouer au golf, c’est son monde qui s’écroule. A-t-il attendu tout l’hiver pour réaliser qu’il devient trop vieux pour ce sport finalement trop violent pour lui? Cette douleur est lamentable. Il n'a plus de santé.
Malgré les, AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), les massages, l’ostéo et la physio, il est mieux, mais n’a pas repris sa forme d’antan.
Puis il arrive chez le Dr Philippon, pas trop sûr de lui, référé par un ami, en chiropratique, pour enfin apprendre qu’il avait une condition préalable.
Le chiro lui dit : « Regardez vos radiographies. Elles indiquent une ancienne blessure que votre corps avait guérie à sa façon. Cependant, un effort soudain et vif avait la chance de bloquer votre dos à nouveau. »
Il se rappelle cette chute. Un accident banal qui lui avait donné beaucoup d’inconfort il y a plus de vingt ans. « Mais je n’ai jamais eu mal au dos depuis s’écrit-il presque indigné. »
Enfin, il comprend la logique. Il aurait dû préparer sa saison de golf par des exercices appropriés et surtout, ce matin-là, et tous les autres matins, réchauffer son corps par quelques mouvements de rotation du tronc et flexions dans toutes les directions.
Pour le moment il faut s’occuper de son mal.
Le chiropraticien est le spécialiste du traitement naturel du dos. Pas de médicament, pas de chirurgie. Si son patient est mieux, c’est qu’il a ajusté les bonnes régions du corps, celles qui avaient besoin de retrouver leur mobilité et le plus important, leur tonicité et résistance.
Beaucoup de personnes vont chez le chiro et, dès que le mal est parti, ils partent à leur tour. « Je n’ai plus mal, pourquoi j’irais me faire traiter? » déclarent-ils avec un air de : « je n’ai pas l’intention de me faire avoir avec des traitements qui traînent et qui ne sont pas nécessaires. Et si je n’en ai pas besoin, c’est définitivement trop cher! »
Ces malheureux n’ont pas compris, ou ne veulent pas comprendre que : quand le mal est parti, la phase la plus importante des soins commence.
Le tonus et la résistance aussi bien que l’équilibre biomécanique qu’on appelle « bonne posture » est plus important que ne pas avoir mal.
Si le patient n’a plus mal, mais que les muscles sont encore faibles, le corps est en compensation et ce sont les muscles complémentaires qui viennent prêter main-forte aux régions encore faibles. Quand le corps « guéri » de cette façon, il se rétablit mal. Le patient risque les rechutes fréquentes, les séquelles, les faiblesses, le retour à des malaises futurs et l’installation précoce d’ostéoporose ou ostéoarthrite ou arthrose dans des endroits spécifiques qu’il aurait pu éviter.
Les derniers traitements consistent à maintenir la correction. Les ignorants diront que ce sont des visites inutiles. Le docteur demandera à son patient à son arrivé pour sa visite de contrôle : « Avez-vous mal? » Non !
« Y a-t-il quelque chose de spécial que je devrais savoir avant que je vérifie l’état de votre tonus et traiter les régions qui n’ont pas encore leur plein potentiel? » Non !
Inimaginable pour plusieurs, que le patient se présente chez le chiropraticien pour des traitements malgré qu’il se sente en pleine forme!
Ces personnes ne savent absolument pas que certains patients ont fait l’expérience de se sentir bien et connaissent la méthode parfaite pour conserver ce bien-être. Le chiropraticien fait partie de ses atouts.
Je fais un parallèle. Vous savez que l'orthodontie est une branche de la médecine dentaire qui s'intéresse au développement, au diagnostic, à la prévention et à la correction des anomalies de position des dents et des malocclusions dentaires dans un but fonctionnel et esthétique.
Que diriez-vous du patient qui, après avoir porté durant une année ces appareils de correction dentaires, voyant sa bouche esthétiquement parfaite : « j’arrête mes traitements, mes dents sont correctement alignées maintenant. Je ne vois pas la nécessité de finir le traitement et de dépenser une fortune pour cela! »
Il est clair que ces dents qui viennent à peine de prendre une position nouvelle dans la bouche doivent être supportées suffisamment longtemps pour que cette condition devienne la nouvelle position normale. En orthodontie, ce traitement se prolonge généralement de 12 à 24 mois selon les cas.
En chiropratique, c’est identique. Sauf que dans cette période de supervision le patient ne sera vu généralement que mensuellement. Chaque cas est évalué spécifiquement.
Malgré tout, chacun sa vision. Chacun ses choix.
Quant à moi, je me considère au service de mon patient. Il est mon client. Mon rôle après avoir bien défini la cause des malaises pour lesquelles le patient vient me consulter est de lui proposer le meilleur que je peux lui offrir. Par contre, s’il ne veut qu’être soulagé pour le moment. Qu’il en soit ainsi! Et je suis heureux de répondre à son besoin.
La confiance est une question de relation. Je crois que la relation que vous avez avec votre thérapeute est primordiale. Elle engendre la confiance. Cependant, il est primordial que votre thérapeute soit qualifié et reconnu par ses pairs. Qu’il soit membre d’un Ordre régi par l’office des professions du Québec est un gage de professionnalisme reconnu. Sinon, votre confiance pourrait être mise à l’épreuve.
J’apprécierais vos commentaires à la fin de cet article. Parlez-moi de vos expériences. Parlez-moi de vos succès. Parlez-moi de vos inquiétudes. Écrivez-moi et suggérez-moi des sujets à développer.
Merci de me lire.
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